Lorsque l'on parle du budget pour la réhabilitation des dents à l'aide d'implants dentaires, il faut prendre en compte :

• Le type d'implant et son fabricant. Un implant bon marché n'a pas beaucoup d'études réussies, voire aucune, on ne le trouve pas partout et si des problèmes surviennent, il y a très peu d'endroits où vous pouvez intervenir.
• Le nombre d'implants à insérer
• Procédure de greffe osseuse, utilisée dans certains cas d’édentation (perte de dents)
• La technique PRF consistant à récolter les facteurs de croissance du plasma du patient, qui sont utilisés en préopératoire. Aussi le Parasorb
• Les extractions dentaires.
• Piliers prothétiques, pièces de liaison entre le futur travail prothétique et les implants insérés.
• Des examens radiologiques tels que le scanner 3D, qui sont réalisés avant l'intervention pour une planification plus précise et prévisible.
• Le nombre de couronnes dentaires à fixer à 4-6 mois sur implants dentaires insérés. Le type de Bridge final, bridge complet ou type Malo, la qualité et l'origine des matériaux utilisés.

Il faut cependant toujours se référer au caractère unique du cas. Même si les prix standard sont indiqués sur notre site Internet, tout dépend du cas du patient : combien d'implants dentaires sont nécessaires ? Une greffe osseuse est-elle nécessaire ? Quels sont les composants prothétiques utilisés ?

C'est précisément pourquoi le plan de traitement est unique, étant élaboré pour chaque patient, en fonction des besoins. Ce n'est qu'en connaissant toutes les étapes liées au traitement que nous pourrons établir un coût exact, qui sera expliqué au patient.

La technique de prothèse fixe sur implants dentaires est recommandée pour tous les patients présentant une dentition atteinte d’une maladie parodontale terminale généralisée. Tout d’abord, les dents affectées sont extraites, l’infection locale est nettoyée, les implants sont insérés et la greffe osseuse est réalisée pour remodeler l’os affecté – le tout en une seule séance.

Afin de pouvoir poser un implant dentaire dans des conditions sûres, il est nécessaire de réaliser un ensemble de analyses avant de commencer l’intervention. Ainsi, l'hémoglobine glycosylée doit être inférieure à 7% et la glycémie le jour de l'intervention doit être inférieure à 180 mg/dl. Si nous avons un bon contrôle glycémique, prenons le traitement prescrit par le médecin traitant et avons les valeurs indiquées ci-dessus, alors l'implant guérit de la même manière que les patients non diabétiques.

Combien de temps le protocole d'antisepsie et d'asepsie est-il suivi avant et après l'intervention
pendant celle-ci, toute apparition d’une infection peut être évitée. Si les indications données par le médecin ne sont pas respectées et que la zone opérée est contaminée, un abcès peut apparaître. Aussi, après l’intervention, un traitement antibiotique et anti-inflammatoire est prescrit, ayant pour rôle de protéger la zone opérée d’éventuelles infections.

Nous utilisons généralement une anesthésie locale, mais si nous effectuons l'intervention avec des dents fixes sur implants dentaires dans les 24 heures, nous utilisons également la sédation consciente, une autre technique d'anesthésie qui permet d'effectuer le traitement sans douleur ni peur.

La sédation consciente implique l'injection contrôlée et surveillée par un anesthésiste spécialiste de substances, qui ont pour rôle de détendre le patient et d'éliminer toute trace de peur et d'inconfort. Le patient n'est pas complètement endormi, comme dans le cas d'une anesthésie générale, mais il peut s'endormir par endroits et le patient est ainsi amené dans un état de tranquillité.

Nous appliquons une sédation pour la relaxation et le détachement de tout ce qui se passe pendant l'intervention et, en outre, nous administrons certaines substances ayant un rôle anti-algésique et anti-inflammatoire. De plus, la sédation consciente a un effet d’amnésie rétrograde variable – cela se traduit par le fait que certains patients ne se souviennent pas des étapes de l’intervention.

Si ce traitement anticoagulant n’est pas arrêté, il existe un risque de saignement. Dans ces cas fréquents, l'anticoagulant est remplacé avec l'accord du médecin qui l'a prescrit.
Si ce traitement anticoagulant n’est pas arrêté, il existe un risque de saignement. Dans ces cas fréquents, l'anticoagulant est remplacé avec l'accord du médecin qui l'a prescrit.
Tant que ce protocole est strictement suivi, l’opération est très sûre.

Dans la plupart des situations, il est même indiqué que l'implant dentaire soit posé lors de la même séance que l'extraction dentaire, à condition que l'os le permette. De cette façon, nous pouvons accélérer la période d'attente jusqu'à ce que nous puissions fixer une couronne sur cet implant. Grâce à l’augmentation osseuse, nous pouvons assurer une meilleure cicatrisation des os et des gencives après une extraction dentaire et l’insertion d’un implant dentaire.

Avec l'aide de technologies modernes telles que le PRF (facteurs de croissance) récolté à partir du plasma du patient, la greffe avec Parasorb, ainsi qu’un plan de traitement bien élaboré suite à l'analyse du scanner 3D, il est même indiqué que l'implant dentaire être inséré au cours de la même séance d’extraction dentaire.

Le bridge est fixé le jour même après l'intervention ou maximum le 2ème jour, lorsque nous avons des situations plus complexes.

Le bridge final est monté 4 à 6 mois après l'intervention, durant lesquels l'ostéointégration des implants est réalisée et la gencive cicatrise. Ainsi, le bridge fixe provisoire est remplacée après 4 à 6 mois par le bridge fixe définitive.

Il est conseillé de poser le bridge provisoire rapidement car il favorise une cicatrisation plus prévisible de la gencive, offrant ainsi un degré de protection accru.

Il est normal qu’un gonflement du visage survienne après une intervention chirurgicale. Cela peut s'accompagner d'hématomes (ecchymoses) et il existe un risque de saignement tardif ou prolongé.

Il existe un risque que l'implant dentaire ne s'intègre pas correctement si le patient ne suit pas les instructions de manger des aliments mous (soupes, purées) pendant 4 à 6 mois, n'adopte pas un régime semi-liquide et force le bridge provisoire ( fixés sur les implants) avec un régime à consistance dure.

Si le patient n'est pas effectué des analyses de sang avant l'intervention, ce qui peut indiquer la présence d'un diabète non contrôlé et non diagnostiqué, il existe un risque d'infection locale et la possibilité que l'implant ne s'intègre pas.

En revanche, si le patient utilise des médicaments de type bisphosphonates habituellement prescrits contre l'ostéoporose chez la femme, il existe un risque de nécrose de la mâchoire entraînant une infection locale. C'est précisément pourquoi il est très important que le médecin interroge avant tout le patient sur les maladies dont il souffre et sur les médicaments qu'il prend.

Le Sinus Lift est une technique d’ajout d’os à la mâchoire, au niveau des molaires supérieures.
Après extraction dentaire, l’os s’atrophie dans les zones restantes, diminue en hauteur et ne permet pas l’insertion d’implants dentaires. En d’autres termes, si nous insérons un implant de 10 mm de long dans un os de 2 à 4 mm de haut, nous perforerions directement la cavité du sinus maxillaire et pénétrerions dans le sinus maxillaire avec l’implant. Cet incident peut entraîner une sinusite maxillaire, voire un échec implantaire. Pour éviter cela, on ajoute dans cette zone de l'os artificiel, qui entourera complètement l'implant sur toute sa longueur, ainsi qu'un lifting préopératoire de la membrane du sinus maxillaire.

Sinus Lift est le seul moyen d’insérer de manière prévisible un implant dans le maxillaire, dans les zones postérieures du maxillaire si le patient présente une déficience osseuse.

En général, la procédure All on 4 évite de devoir soulever les sinus !

La plupart du temps, l’os utilisé est d’origine animale. Il est traité thermiquement, chimiquement et biologiquement et se présente sous forme de granulés d'un diamètre de 1 mm. Ces granules sont mélangés en préopératoire avec des facteurs de croissance récoltés dans le plasma du patient (grâce à la technique PRF) et appliqués sur la zone d'intérêt pour augmenter l'épaisseur ou la hauteur des os.

L'ostéoporose n'est pas une véritable contre-indication aux implants dentaires car les implants modernes ont une surface spéciale qui permet leur intégration dans tout type d'os.
Cependant, si le patient utilise des médicaments tels que les bisphosphonates pour l'ostéoporose, les interventions chirurgicales telles que l'extraction dentaire ou la pose d'implants dentaires sont totalement contre-indiquées car elles peuvent entraîner de graves complications. Cependant, pour bénéficier des implants dentaires, le patient doit arrêter le traitement pendant une durée d'au moins 6 mois puis réaliser une prise de sang particulière qui indiquera si le métabolisme osseux est restauré.

Sous anesthésie locale et, si nécessaire, sous sédation consciente, l'intervention de pose d'implants dentaires se déroule sans la moindre douleur. Ces piqûres anesthésiques sont ressenties pendant quelques secondes, après quoi la zone devient complètement engourdie. Une fois l’anesthésie dissipée, des analgésiques sur ordonnance entrent en vigueur afin que la douleur ne survienne pas. En fonction de l'ampleur de l'intervention et de la morphologie de chaque patient, les doses administrées sont adaptées pour que le patient se sente à l'aise avec la zone opératoire.

Selon le Code de déontologie des dentistes, il est interdit aux dentistes d'offrir une garantie pour les actes effectués ; ici est également incluse l’intervention d’insertion d’implant dentaire.

Dans le même temps, le médecin assume l'entière responsabilité des actes effectués. De plus, des études indiquent un taux de réussite des implants dentaires fabriqués par des fabricants renommés d'environ 98 % à 10 ans. Cependant, si l'implant dentaire n'est pas inséré correctement, qu'un certain protocole chirurgical n'est pas suivi et que le patient ne suit pas une bonne hygiène après l'intervention, des problèmes peuvent survenir. De manière générale, si les indications sont respectées et parce que nos patients font partie de la famille élargie de notre clinique, nous remplaçons les implants problématiques ou réparons les bridges Malo (le seul type de bridge réparable) pendant 3 ans sans frais supplémentaires.